Qui peut se lasser d’écouter le concerto pour piano n°3, opus 37 de Beethoven ? (mention spéciale pour le Largo)
Le départ de Chateaubriand vers le Nouveau-Monde
Quand la prière se fait peinture, l’Angélus de Millet une icône du XIXe siècle
Chut !
« With darkness deep, as is my woe » l’air poignant de Theodora d’Haendel
« Ça aurait pu être eux, ça aurait pu être nous »
Sainte Geneviève veillant sur Paris
Les concertos pour violon de Bach
Le catalogue du grainetier Chiltern Seeds en avant-première
Le renouveau de l’art sacré en Angleterre
Le coing, un fruit d’automne parfumé
Adieu critique !
EXPOSITION : Un génie en jupon, les fastes d’Elisabeth Vigée Lebrun
Les fantasmagories architecturales de Piranèse
A feuilleter immodérément : les Antichita Romane de Giovanni Battista Piranèse (1720-1778) constituées de vues semi-imaginaires et d’architectures flamboyantes, publiées en 4 volumes en 1756. Ces fantasmagories architecturales gravées constituent un récit de formes riches en inspirations, en témoignant de la…
L’Invitation au Voyage d’après Baudelaire par Henri Duparc (1870)
Hélas ! comptez vos jours : les jours qui sont passés (Jean de Sponde)
La « pitié cruelle » d’Alceste de Glück (1776)
Mémoire des hommes, la base des Morts pour la France du Ministère de la Défense
Portraits à la Cour des Médicis (L’Oiseau-Lyre)
Un Adagio de Saint-Saëns
Une interview de la botaniste Aline Raynal-Roques
France Culture a interviewé Aline Raynal-Roques le 16 avril 2015. Née en 1937, botaniste, professeur honoraire au Muséum national d’histoire naturelle, son nom a été donné à plusieurs plantes Schoenoplectiella erecta susp. raynalii (Cyperaceae), Boerhavia raynalii (Nyctaginaceae), Pandanus raynalii (Pandanaceae), Dryopteris raynalii. Remarquable par sa curiosité et sa science des plantes, Alice Raynal-Roques rappelle que l’observation de la nature est la mère de la connaissance botanique. A méditer.