La torpeur d’une flamme assourdit le vitrail :
C’est dans le silence que toute âme renonce.
Quelle blessure ne guérit sous ton poitrail
Dis moi, quelle brûlure y enserre ses ronces ?
Tu m’affirmes que son portrait ne te console
Quand l’amant sans mémoire et ingrat s’absente.
De ce monde sans lui je sais que tu t’isoles
Comme s’écarte de son bourreau la passante.
Et tu songes, nostalgique d’une liesse :
In Coelo Quies !
©GLSG, 2007