Je vous rends la fleur de souci qui s’est fanée, Je suis en grande mélancolie du malheur De n’avoir pas su vivante la conserver : Sonnent les fantômes du tocsin des douleurs. Clos à tout jamais les rideaux purs du…
Une mélodie pénètre l’ouïe De mon cœur sans que jamais je ne puisse L’empêcher de pourfendre là ma vie, Ni lui défendre de luire plus que vices. C’est vous qui la jouez, ô ménestrels Vagabonds des lauriers et des luths…