Jamais, jamais Lizzie ne fut insoucianteComme les filles que rien ne contrit,Elle stagne première et dernière amanteAu royaume des peintres interdits. S’étiolent son cou fatigué, ses lèvresComme les nénuphars planant sur l’eau,Repue des insomnies, figée de fièvre,C’est Ophélie flottant…